Le travail qui relie est un processus collectif créé pour accueillir nos souffrances liées à la destruction du vivant, écologique et social, pour retrouver de l’énergie et de la puissance dans nos actions, dans l’intention d’agir pour soutenir le vivant.
Ce n’est pas un processus de développement personnel, mais de développement inter-personnel, de développement collectif, qui vise à l’empuissancement des personnes et des groupes. Il se déroule en 4 étapes : s’ancrer dans la gratitude, puis honorer notre souffrance pour le vivant, porter un nouveau regard, et aller de l’avant par des actions concrètes.
Les ateliers de travail qui relie sont des ateliers de reliance face aux crises. Lorsque nous sommes dans une crise globale, nous avons d’autant plus besoin de nous relier:
Florence-Marie Jégoux, militante du Care et de la reliance.
Elle a été infirmière, aiguilleuse du ciel, puis analyste de risques. Depuis 2009, elle est spécialiste en psychologie cognitive et psychologie sociale, formatrice facilitatrice sur le « PFH », le fonctionnement humain et organisationnel. Elle est conceptrice de formations, coach certifiée depuis 2014, et donne des conférences sur la sécurité psychologique et sur les éco-émotions. Elle est aussi secouriste en santé mentale.
Elle est « tombée » dans l’écologie en 2017, suite à une rencontre avec Loire… Quand elle a découvert l’éco-psychologie, elle a trouvé sa place pour la co-construction du monde de demain. Elle s’est formée en 2020 comme facilitatrice du travail qui relie dans la lignée de Joanna Macy.
Elle aime être un trait d’union entre psychologie et sociologie, spiritualité et Politique, individuel et collectif, poésie et neurosciences, intériorité et activisme…
Elle est devenue psychopraticienne et thérapeute en intelligence relationnelle (traitement des traumas et prise en compte du système nerveux). Elle anime des groupes de parole sur les éco-émotions, et est bénévole pour plusieurs collectifs militants et activistes co-constructeurs du nouveau monde… Elle développe aussi des ateliers sur le burn out militant, et tient compte des inégalités et des systèmes d’oppression.
Elle anime aussi une formation à la facilitation du travail qui relie.